Désormais, nous savons ce que la Bible enseigne à propos de la mort : c’est une finalité inévitable pour chaque homme. cette fin représente un carrefour pour la destination éternelle de son âme. Toujours selon la Bible, deux seules et uniques destinations finales sont envisageables : le Paradis ou l’Enfer !
Première destination, le Paradis
L’existence réelle du Paradis ressort dans de nombreux passages de la Bible. C’est Jésus lui-même qui appelle « Paradis » la destination finale du brigand condamné avec lui sur la croix. Jésus appelle aussi cet endroit « la maison de mon Père ». Mais le Paradis est bien plus qu’une maison, c’est aussi une grande ville décrite dans le livre de l’Apocalypse. Et que serait une ville sans dé-cor ? Finalement, le Paradis est un pays merveilleux décrit, entre autres, dans la Bible par Esaïe, Jérémie, Ézéchiel… Tu comprends mieux pourquoi la Bible parle du Paradis comme la « vie éternelle ». Nous aurons l’occasion d’en reparler dans la suite de la rubrique
Deuxième destination, l’Enfer
La Bible présente également l’Enfer comme un endroit bien réel, lieu de séparation éternelle d’avec Dieu. L’Enfer est imagé par un « étang de feu et de soufre », c’est-à-dire un endroit où il ne fait ni bon vivre ni bon respirer. Tout le contraire du merveilleux pays qu’est le Paradis ! Cet endroit a été préparé, initialement, pour Satan et tous ses démons, comme punition définitive en raison de leur désobéissance à Dieu. Mais, Jésus lui-même rappelle que ce lieu recevra aussi tout homme qui aura choisi volontairement de désobéir à Dieu. Un tel homme habitera en Enfer, depuis sa mort physique et pour l’éternité… Il vivra cette terrible réalité d’une vie consciente, pleine de regrets, de pleurs, d’angoisses. C’est l’endroit où se trouve l’homme riche dont il est question dans Luc 16. Tu comprends mieux pourquoi la Bible appelle l’Enfer, « la seconde mort. »
Alors, sachant que ton avenir est éternel, où le passerastu ? Avec Satan et ses démons ou avec Jésus ? Dieu place devant toi la vie : « Choisis la vie afin que tu vives ! ».
