L’épître aux Hébreux dit que « Sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon ». S’il n’y a pas de sang qui est versé, c’est-à-dire s’il n’y a pas mort, il n’y a pas de pardon, parce que le péché mérite la mort. Sur cette base, il y avait de nombreux sacrifices d’animaux face aux péchés des hommes dans la période avant Jésus. Ce principe divin était transitoire et imparfait.
Imparfait parce qu’il fallait continuellement recommencer face à chaque péché et que les animaux offerts n’avaient pas la possibilité réelle de résoudre le péché. Mais chacun comprenait la gravité du péché et que leur vie continuait parce qu’un innocent avait enduré leur condamnation.
Transitoire parce que Dieu préparait sur le même principe quelque chose de parfait et de définitif. En effet, Il offre son pardon à des gens qui ne le méritent pas, parce que quelqu’un d’autre meurt à leur place. Cette personne, ce n’est ni un agneau ni un veau, mais un homme parfait: Jésus-Christ lui-même, le Fils de Dieu.
Ainsi le sang parfait de Jésus sans péché nous purifie du péché dans toute sa dimension. Jésus est mort en prenant notre place. Si le sang de Christ nous sauve, il ne s’agit pas du tout d’une puissance magique dans le sang. Il s’agit de la grâce de Jésus-Christ, qui a donné sa vie pour nous sauver de la mort.