L’Éternel n’a pas d’égal. Toutes les autres croyances sont le fruit de l’imagination humaine. Inertes et inactives, ces divinités n’ont de vertus spirituelles que d’être des tremplins aux séductions occultes.
PAS UNE ÉVOLUTION
En lisant la Bible, il est clair que l’Éternel se révèle, point. Il n’est pas lié à d’autres divinités où il aurait pris le dessus avec le temps. Si cela avait été le cas, ces autres divinités lui auraient été liées comme dans toutes les croyances issues de l’imagination des Hommes.
L’ÉTERNEL SE RÉVÈLE À BEAUCOUP DANS L’HISTOIRE
L’Éternel se présente toujours avec la même cohérence, sur des millénaires, à des personnes d’arrière plans différents. S’il y avait eu juste une révélation flash faite à une personne, puis après plus rien, le degré de crédibilité serait très faible.
L’ÉTERNEL ANNONCE ET TIENT SES PROMESSES DANS L’HISTOIRE
L’Éternel est le seul à avoir annoncé de nombreuses promesses et prophéties dans l’Histoire de l’humanité et qui, pour l’immense majorité, se sont déjà accomplies aux yeux de personnes comme nous (l’accomplissement des autres prophéties sont pour des temps futurs).
IMPLIQUÉ
L’élément le plus marquant des réponses concrètes à ces prophéties, c’est Jésus. Comme annoncé dans des dizaines de prophéties, Jésus, par sa vie, sa mort et sa résurrection, y répond à toutes d’une manière parfaite.
Notons que l’Éternel est loin d’être distant de sa création, car il s’implique lui-même en vivant publiquement dans et avec elle, allant même jusqu’à donner sa vie humaine pour elle !
EXIGENCE MORALE
Une des caractéristiques qui démontre que les divinités sont le produit de l’imagination humaine, c’est qu’elles sont toujours le reflet du caractère des Hommes et bien souvent un prétexte pour qu’ils continuent dans leurs penchants troubles. Il n’en est rien avec l’Éternel qui élève le débat et la valeur humaine en lui montrant les exigences morales différentes, qui le différencient du reste de la création. L’Éternel a fait la démonstration magistrale qu’il est clairement unique, mais voulons-nous l’accepter ?